Hyundai i20 - Essai routier
Essai routier

Hyundai i20 - Essai routier

Hyundai i20 - Essai routier

Pagella

Moteur un trois cylindres Le coréen est un antidote efficace pour soif de diesel.

Ainsi, les coûts fixes sont considérablement réduits.

Il est également surprenant de vivacité.

La Hyundai i20 c'est une sous-compacte sur laquelle vous ne comptez pas.

Car sur le segment le plus achalandé du marché, la marque coréenne, bien que gagnant en popularité, n'est pas encore aussi reconnaissable que les marques européennes.

Trop souvent, ceux qui doivent changer de voiture ne considèrent la Hyundai cinq portes qu'à la deuxième place lorsque l'on tient compte des héros habituels du segment B.

Dommage, car aujourd'hui la i20 a un look moderne et beau, mais en même temps technologique, grâce aux feux de jour à LED (en option).

La version 1.1 du CRDi est aussi une arme anti-crise : le moteur turbo diesel est l'un des plus compacts du marché (seule Smart a pu faire mieux) et offre de brillantes performances en échange d'une petite quantité de gasoil.

Trois cylindres séparés, mais on s'y habitue vite : le moteur ne vibre que s'il est sous pression, lorsque le sixième cylindre est remis en dessous de 1.300 XNUMX tr/min.

Au-dessus de cette valeur, le moteur pulse régulièrement et doucement avec une réplique satisfaisante. Les chiffres froids de la V-Box, lorsqu'ils sont mesurés, confirment l'expérience de conduite : le moteur monte rapidement en régime même avec le cinquième et le sixième.

Le tirage n'est pas infini, mais largement suffisant pour le type de voiture.

Il y a de la traction, mais cela n'affecte pas le kilométrage : en conduisant prudemment, vous roulez à une vitesse de 24 km/l, et lorsque vous appuyez sur l'accélérateur avec moins de respect, vous ne descendez pas en dessous de 18 km/l.

Une telle splendeur invite également à jouer avec les virages : le réglage est bien calibré, c'est-à-dire qu'il offre la stabilité et le contrôle nécessaires et ne crée pas de difficultés à grande vitesse.

La rugosité, prise à grande échelle, n'est cependant pas totalement éteinte et exerce une pression sur la suspension. Par exemple, dans les virages d'autoroute, lorsque vous franchissez les faisceaux à 130 km/h, la trajectoire subit une légère déviation lorsque les roues heurtent les « nervures » du viaduc.

Rien de dangereux, rassurez-vous, c'est le résultat de la capacité d'absorption, qui a des limites évidentes.

"Sister" Kia Rio (Kia - marque Hyundai) dans ces situations transmet une plus grande solidité, une plus grande efficacité.

Mais les roues arrière de la i20 épousent bien la chaussée lors des freinages à fond : même en virage, il n'y a aucun risque de dévier de la trajectoire et l'ABS avec ESP (de série) est prêt à aider le conducteur.

L'i20 offre également d'autres outils utiles : bien qu'il ne dispose pas d'un système d'arrêt et de démarrage (présent dans la version Blue Drive), il dispose d'un excellent indicateur de changement de vitesse qui indique le meilleur moment pour passer les vitesses vers le haut ou vers le bas, et quel rapport utilisation. ...

De plus, la boîte de vitesses permet une mauvaise maniabilité en offrant toujours une adhérence précise. Ainsi, la voiture est intéressante, dont le prix à 13.400 € n'est plus aussi bas qu'avant, mais devrait être revu sur la base d'une meilleure qualité et d'un bon équipement.

Sans oublier la garantie plus de cinq ans (standard) avec kilométrage illimité.

Il moteurEnfin, il dispose d'un programme d'entretien qui réduit les interventions, ce qui est une autre source d'économies.

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